Lomé — Paris (2020) Photographies réalisées à Lomé en mars 2020 lors d’une résidence d’artiste prématurément interrompue, après quatre jours seulement passés sur place, pour cause de Covid-19. Les portraits ont été réalisés en lumière naturelle devant un mur dans la rue ou dans une cour privée. Ce dernier joue le rôle de fond, d’élément du décorum qui …
Galerie
Le regard à quatre yeux (2018 – 2019) Suite de la série en cours…
La prophétie de l’anguille (2017) Photographies réalisées dans le cadre d’une résidence artistique au domaine de Certes et Graveyron (Bassin d’Arcachon) sur la richesse de sa faune et de sa flore dans la continuité de mon travail précédent Les engloutis. L’axe principal porte sur l’anguille, poisson mythique, bien ancré dans les traditions populaires régionales et …
Vice versa (2004 – 2005) J’ai réalisé, sur plusieurs mois, une série de portraits (famille, amis, inconnus) à la fois, en studio, sur des lieux de vie, en intérieur ou extérieur, en y associant un surplus de fausses informations, de signes rajoutés et de couleurs imaginaires. Il s’agit bien de m’approprier l’apparence du modèle, d’élaborer ou de modifier …
Lieux d’ailleurs (2001 – 2004) Confondre les unités de temps et d’espace, créer des interférences entre le proche et le lointain, telle est ma définition d’un jeu photographique visant à fabriquer un univers visuel sans frontières. Au travers de photographies anciennes ou récentes, de sites familiers ou anonymes, proches ou distants mais inévitablement transfigurés par l’image, je cherche …
Tombés des mains du soleil (2001) Dans de nombreux pays africains, il existe, aujourd’hui encore, une forme d’apartheid à rebours dont sont victimes les albinos : “ces noirs à la peau blanche”. Occultant légendes et croyances ancestrales, je suis parti à leur rencontre, au Togo, entre novembre 2001 et juin 2002. J’ai côtoyé et photographié des femmes, des hommes, …
Les filles du masque (1998 — 2000) Partant du « prétexte » de la scarification tribale et de son rapport aux notions d’identité, de lien social et d’esthétique, j’ai gratté, déchiré, brûlé et rehaussé à la gouache inactinique des négatifs de portraits réalisés en studio de jeunes femmes africaines. J’ai utilisé le « sacré » négatif comme un support à part entière, une …
Apparences immigrées (1998) J’ai photographié Dialika et sa famille pendant presque cinq ans, en évoluant discrètement au sein de leur cadre de vie quotidien, ou en installant avec un simple tissu noir accroché au mur, un studio de fortune au cœur de leur appartement. Au fil des rencontres, le temps s’est avéré un allié privilégié …